Les disparitions que j'ai vu son dans la région de Lausanne mais aussi en Isère (je n'arrive plus a retrouvé les articles sur internet)
Pour l'extrait si dessous ça se passe dans la région de Tarbes et c'est daté du 16 juin car la disparition de chats continue
"Les disparitions mystérieuses de félins ne cessent d'augmenter. Des
propriétaires se sont regroupés et une plainte vient d'être déposée.
La pétition se poursuit. Noelia remercie toutes les personnes qui se
sont déplacées de tout le département pour la signer. Photo Joël Boyé.
Le mystère demeure autour de la disparition, en quelques mois, d'une
soixantaine de chats, peut-être plus ! Quarante-cinq propriétaires
recensés ont « signé une pétition assortie d'un courrier pour un dépôt
de plainte qui a été effectué mercredi dernier, en lettre recommandée
avec accusé de réception, auprès du procureur de la République du
tribunal de grande instance de Tarbes. « Nous avons joint une
photocopie de la carte d'identité de chaque propriétaire ainsi que du
carnet de vaccinations de l'animal pour ceux qui l'avaient », indique
Noelia Llacer, à l'origine, avec quelques autres, de cette démarche. «
Une plainte commune, c'est le seul moyen de se faire entendre et
peut-être de savoir ce qu'il est advenu de nos chats. Individuellement,
on ne peut le faire car on n'est pas pris au sérieux », assurent-ils.
« Nos recherches dans le quartier, auprès des voisins, par voie de
presse, affiches, SPA… ont été stériles et nos chats ont disparu sans
laisser de traces », disent-ils,. Ils craignent que leurs animaux aient
fait les frais « d'un trafic pour leur fourrure ou pour des essais en
laboratoire ».
Les disparitions en masse de ces félins datent du début de l'année. En
quelques mois, plusieurs Tarbais ont vu disparaître mystérieusement
leurs chats. En un éclair, ces derniers se sont littéralement évanouis
dans la nature. Et tous ces félins avaient à peu près le même profil :
de jeunes chats, castrés ou stérilisés et même identifiés par le
tatouage, par des puces ou par des colliers ; une fourrure sensiblement
la même, gris tigré. Certains propriétaires résidaient parfois dans la
même rue, voire le même quartier"